JEAN-PAUL MOUSSEAU & CLAUDE VERMETTE A LA RECHERCHE D’UNE SENSIBILITE COMMUNE
Par Geneviève Pelletier
Dans une entrevue publiée en 1967, Jean-Paul Mousseau (1927-1991) affirmait : « C’est impensable qu’un homme, aujourd’hui comme hier, ait toute la connaissance dans tous les domaines. C’est inimaginable, il faut travailler en équipe […]. Le seul problème auquel nous avons à faire face lorsque nous travaillons en équipe, c’est qu’il faudrait que tous les éléments de l’équipe aient à peu près, du moins intuitivement, une sensibilité commune ».(1) Dans cet essai il sera question des murales en céramique faites en collaboration par les artistes Jean-Paul Mousseau et Claude Vermette (1930-2006) entre 1958 et 1966. En joignant leurs forces, Mousseau et Vermette ont réussi à intégrer l’art à l’architecture plutôt que de simplement l’appliquer. Dans ce domaine, ils font d’ailleurs figure de pionniers. De plus, pour l’ensemble de leur collaboration, il semble que les critiques aient surtout été élogieuses. Vu la qualité et l’importance de leurs réalisations, si cette sensibilité commune existe, elle devait être partagée par l’équipe Mousseau -Vermette. En étudiant le parcours de ces deux artistes, je vais tenter de découvrir la nature de cette sensibilité qu’ils partageaient sûrement, espérant ainsi mettre en lumière la raison du succès d’une collaboration qui a marqué le paysage urbain montréalais.
Mousseau est un artiste bénéficiant d’une notoriété importante au Québec. Cette notoriété peut être expliquée par une certaine habilité médiatique, mais elle peut probablement aussi être rattachée à son association avec le groupe automatiste et à la signature historique du manifeste du Refus Global. Pourtant, la période automatiste de Mousseau ne semble représenter qu’un passage dans sa carrière. Mousseau fut initié à la peinture et à la sculpture, dans les ateliers d’arts plastiques du frère Jérôme au Collège Notre-Dame (1940-1945), avant de se joindre, alors qu’il n’est âgé que de 17 ans au groupe des automatistes. Déjà à l’époque automatiste Mousseau est un artiste multidisciplinaire. En plus de la peinture, il sculpte, participe à la création de décors de théâtre, fait des costumes et même des bijoux. Alors que le mouvement automatiste favorise l’exploration individuelle et la spontanéité, Mousseau semble plutôt attiré vers des formes d’art plus souvent collectives pour lesquelles tout doit être calculé, comme le design et la décoration. Appuyant cette tendance, en 1948, lors de sa première exposition individuelle au studio des décorateurs Guy (1920-1971) et Jaques Viau, Mousseau présente plutôt que des tableaux, des tissus peints à la main dont certains ont même des fonctions utilitaires.(2) Enfin, à la fin des années 50 il délaisse complètement la peinture de chevalet pour pousser l’exploration de nouveaux matériaux. Il s’intéresse alors à l’intégration de l’art à l’architecture.
Comme Mousseau, Vermette débute sa carrière artistique très jeune. À 14 ans, il s’initie à la peinture avec Paul-Émile Borduas (1905-1960) au Collège St-Laurent, puis au Collège Notre-Dame il fréquente l’atelier du frère Jérôme où il apprend aussi à pétrir la terre. À l’âge de 16 ans il devient membre et expose avec la Société des Artistes Contemporains.(3) En 1952 Vermette part plusieurs mois en Europe où il perfectionne ses techniques. «En Italie, sa rencontre avec l’architecte Gio Ponti (1891-1979) et le sculpteur céramiste Fausto Melotti (1901-1986) lui fait entrevoir toutes les possibilités de la céramique incorporée à l’architecture. Vermette voit dans ce revêtement une solution à la grisaille urbaine et à la froideur de l’architecture fonctionnaliste.»(4) Un second voyage en Italie et en Finlande effectué en 1957 lui permettra d’assimiler les techniques de céramique les plus avancées.(5)
Mousseau et Vermette se sont rencontrés dans les années 40, au Collège Notre-Dame, à l’époque de la classe d’arts plastiques du frère Jérôme. Toutefois, il faudra attendre la fin des années 50 pour voir exécuté leur premier projet commun. En mai 1957 les deux artistes participent à l’exposition Céramique incorporée à l’architecture à la décoration au studio de décoration Prédilection. Tandis que Vermette y présente des céramiques, Mousseau qui a également dessiné quelques unes des pièces de céramique, y expose « des panneaux décoratifs peints avec de l’encre, sur une matière translucide ».(6) L’année suivante, Mousseau et Vermette vont réaliser leur premier projet de céramique incorporé à l’architecture en collaboration ; une murale pour l’entré d’un nouveau pavillon au Collège Notre-Dame (fig.1), un projet réalisé avec l’architecte Gérard Notebaert, lui aussi un ancien étudiant du Collège Notre-Dame.(7)
Suite à ce projet, Mousseau et Vermette participent à la décoration du nouveau restaurant municipal du Lac-aux-Castors (1955-1958), une construction des architectes Hazen Sise (1906-1974) et Guy Desbarat (1925-2003). Ces deux réalisations semblent bien reçue des critiques. C’est ce que suggère un article qui leur est consacré intitulé « Une collaboration à encourager » publié dans la Presse. Dans cet article l’auteur semble particulièrement impressionné par le projet du restaurant du Lac-aux-Castors:
Bien que n’ayant pas vu ce nouveau restaurant dans son état définitif ni dans la meilleur saison, je crois que les panneaux de céramique Mousseau-Vermette vont créer un lien vivant entre l’immeuble et la nature verdoyante. Ici également, les panneaux offrent une subtile modulation, qui ne démolit en rien les lignes et les masses de l’immeubles, et leur apporte une saveur complexe.(8)
Notons qu’un troisième projet de l’équipe Mousseau-Vermette, une murale intérieure pour l’Union régionale des caisses populaires à St-Jérôme de Métabetchouan, sera installée en 1958.(9)
En février 1959, Mousseau et Vermette présentent conjointement à la Galerie Denyse Delrue, une exposition intitulée Orientation 59.(10) Cette exposition vise à illustrer l’application de la céramique à l’architecture. On écrit pour la présentation de cette exposition :
La céramique ne sert plus seulement comme revêtement dans le seul but d’animer des surfaces avec un matériau incorruptible, une texture et une coloration chaleureuse. Elle devient pièce murale animée d’une modulation rythmique strictement respectueuse du mur et conditionnée par l’environnement […] Pour bien différencier leur pièce murale du simple revêtement céramique comme de la fresque proprement dite, Vermette et Mousseau l’appellent «une murale d’intégration».
Les deux artistes innovent aussi sur le plan technique. Ils utilisent de nouvelles tuiles fabriquées à leur atelier avec leurs propres compositions de terres et leurs propres modules (éléments-type indéfiniment combinables) (10).
Encore une fois, le duo reçoit des critiques positives. On peut lire dans le Star : « This is the sort of thing that is changing the face of Canadian Architecture […] The new tiles make some of the older ones look like plastic, fluid in color but uniform in their glossiness » (11) et dans la Presse : « L’on pourrait parler d’une irradiation […] devant ces grands panneaux à travers lesquels des ondes rectangulaires se propagent entraînant un renouvellement des formes elles-mêmes.»(11) En plus de l’exposition Orientation 59, deux murales de céramique faites en collaboration vont voir le jour cette année- là ; une murale extérieure pour l’école secondaire Regina Mundi et une murale intérieure pour l’aéroport international de Montréal (Dorval) (12). La murale de l’aéroport international est l’occasion pour les deux artistes de se voir associés à un projet symbolisant l’ouverture sur la scène internationale d’un nouveau Québec moderne(13).
L’été de 1959, Vermette part à nouveau pour l’Europe. Il visite des ateliers et manufactures de céramique en France, en Italie, en Espagne, en Finlande et au Danemark. À son retour il fait appel aux nouvelles techniques industrielles afin de trouver les solutions aux problèmes de lumière et de couleur, qui à son avis doivent être adaptés au climat et à l’environnement et il s’affilie avec la Electro Porcelain Limited de Waterloo en Ontario. Il y fait produire entre autres, des tuiles courbées dont la glaçure appliquée inégalement permet un jeu dans la profondeur et les nuances de la couleur (14).
Les réalisations de 1958 et 1959 sont pour Mousseau, qui est avant tout un décorateur, les premières expériences dans le domaine de l’intégration de la céramique à l’architecture. Par contre Vermette semble avoir tissé des liens avec le milieu de l’architecture dès le début des années 50 et en 1958 il n’en est pas à sa première expérience. Celui-ci, en plus d’avoir fait la rencontre en Europe d’un architecte et designer d’importance comme Ponti, a eu l’occasion de travailler avec l’un des plus grands architectes modernes du Québec, Roger D’Astous (1926-1998), connu pour avoir tout au long de sa carrière collaboré avec des artistes afin d’intégrer l’art à l’architecture. D’Astous, le seul architecte québécois à avoir été formé par l’illustre américain Frank Lloyd Wright (1867-1959), aurait choisi Vermette pour exécuter les travaux de céramique de sa première maison, celle de Gaston Laurion, construite entre 1954 et 1955 (15). Enfin, il ne semble pas complètement impossible que Vermette ait participé à d’autres travaux semblables à la même époque, mais aucune information n’est disponible à ce sujet.
Il existe une seule collaboration Mousseau-Vermette qui date de 1960, l’année de la mort de Borduas. Il s’agit «[d’]une murale de céramique qui décrit un arc de cercle au-dessus comptoir de service de la cafétéria de la compagnie pharmaceutique Ciba » à Dorval (16). Il faut dire qu’à ce moment Mousseau semble plutôt se concentrer sur la fabrication d’objets lumineux en « styrènes polychromées »qu’il fait avec son assistant François Soucy (née en 1929). Une production populaire semblerait-il, puisque depuis qu’il a commencé la sculpture de ces lanternes, on dit qu’il n’a plus de temps libre(17). Puis, le perfectionnement de cette technique permet à Mousseau d’obtenir des contrats d’importance, comme les murales lumineuses du journal The Montreal Star (1961) et du siège social d’Hydro-Québec -1962- (fig 2) (18).
De son côté, Vermette débute la décennie sur une note positive. La faculté d’architecture de l’Université de San Francisco, qui a entendu parler de ses recherches en céramique architecturale, l’invite à exposer. Pour l’évènement, tenu le mois de mai 1960, Vermette présente cinq grandes murales, des échantillons de briques et tuiles et les photographies de certains de ses travaux (19). Le critique d’art David Perlman affirme à propos de cette exposition : « The professors and students of the school of architecture were astounded at the beauty of this work, and the Dean of Architecture, […] remarked that it was unique contribution to the unifying of art and architecture »(20).
Après 1960, il faudra attendre quelques années et la création du métro de Montréal pour voir Mousseau et Vermette participer à un même projet, celui des murales de la station Peel (1964-1966). Cette station a rendu possible la dernière collaboration Mousseau-Vermette, une collaboration à laquelle il faut ajouter les architectes de la firme Papineau, Gérin-Lajoie et LeBlanc, qui avait obtenu le contrat de la station en 1961. Mousseau aurait reçu cette commande, alors qu’il travaillait sur certains projets de la firme d’architectes (21). Les murales de la station Peel, 54 cercles à l’origine, sont un design de Mousseau tandis que les revêtements sont de Vermette, mais l’idée du cercle semble venir des architectes. L’architecte Louis Papineau, dans une entrevue accordée en 1999, parle de l’époque où le projet de la station Peel était le plus important de la firme:
[M]y own way of integrating art, it wasn’t asked by the city, is that I had Jean-Paul and said, “Look, you and Claude Vermette are good friends, I know, with the ceramics. Let’s do something […] all ceramic and let’s try to introduce something colourful”. So Jean-Paul came up with an idea it was all bands. I said, “that doesn’t really fit” […] “If you can come up with circle, I mean a circle is a perfect figure. I can really fit that easily in the metro. We can really have some fun(22).
Dans l’ensemble de la station le cercle sert de fil conducteur. En plus d’être celle des œuvres d’art, le cercle est la forme choisie pour les revêtements de sol, de mur et les sorties d’aération situées à l’extrémité des quais. Le degré d’uniformité atteint par le style de cette station n’aurait été possible, n’eut été un esprit d’équipe remarquable. Ajoutons que Mousseau a exécutés entre 1963 et 1966 une série de tableaux circulaires. Quoique ces tableaux soient des œuvres à part entière, il s’agit certainement et avant tout d’études pour la station Peel. La peinture est une forme d’art beaucoup trop élitiste pour voir Mousseau y faire un véritable retour et la texture qu’il crée dans ces tableaux permet de visualiser de façon réussit la texture des tuiles produites par Vermette.
Vermette a participé à la création de murales et de revêtements pour pas moins de 12 stations du métro de Montréal(23), dont dix ont été inaugurées entre 1966 et 1967. Les murales de la station St-Laurent (1964-1966) qui ne sont pas considérées comme des œuvres d’art par la ville et les revêtements en trois dimensions de la station Beaubien (1964-1966) (fig.3), une station conçue par l’architecte D’Astous(24), sont probablement ses réalisations les plus intéressantes.
À son tour Mousseau contribuera de façon importante au métro de Montréal puisque de 1972 à 1984 il sera son directeur artistique. Durant ces années, il produira des murales pour les stations Viau, Honoré-Beaugrand, Square-Victoria et pour le garage Angrignon(25).
Mousseau et Vermette avaient des personnalités complémentaires, apportant chacun des forces à leur association. Vermette qui était de quelques années le plus jeune, avait une sorte de respect pour Mousseau et lorsqu’il travaillait avec ce dernier, il tenait probablement plus souvent le rôle de céramiste exécutant, tandis que Mousseau tenait le rôle de créateur. Toutefois, Vermette et sa femme, la tisserande Mariette Rousseau-Vermette (1926-2006) étaient très bien connectés et il semble que Vermette ait vécu de son art mieux que Mousseau(26). Puis, tandis que Vermette était un homme plutôt privé, Mousseau semblait particulièrement à l’aise avec les médias. En plus de cette complémentarité, Mousseau et Vermette se connaissaient depuis l’adolescence, ils avaient été en parti formés dans le même atelier, avaient tout les deux reçu une certaine formation de Borduas et Vermette avait aussi côtoyé les automatistes. Comme un vieux couple, les deux artistes partageaient plusieurs connaissances et expériences contribuant, on l’imagine, à une grande compréhension de l’autre et à l’existence d’une sorte d’instinct ou d’une sensibilité commune. Parce que la sensibilité est à la base de la création, en observant leurs œuvres communes et individuelles on comprend que ces deux collaborateurs avaient en commun une certaine sensibilité des couleurs et du rythme.
Mousseau a toujours eu des talents de coloriste et depuis l’époque où il peint, il semble préférer les couleurs riches et chaudes. En 1956, un an avant l’exposition de ses premiers travaux de céramiques, on écrit dans le Montreal Herald, à propos de ses tableaux présentés à la galerie l’Actuelle:
In my Opinion [they] confirms his reputation as a daring colorist, possessed of a taste which curbs the daring. In these compositions, for example, he uses shades of mauve and purple expensively, and no color requires greater discrimination […] Such a painting as Indian Nord-Amerique, with its lyrical form and rich reds and oranges, is typical Mousseau (27).
Si Mousseau s’affirme avec sa palette, Vermette, lors de ses voyages, reconnait l’importance de la couleur. Selon lui le Québec demande l’utilisation de couleurs différentes de celles de la Floride ou encore de l’Italie et avec ses recherches il se penche sur les questions de climat, de lumière mais aussi de couleur. Mousseau va contribuer aux recherches de Vermette, en créant des colorations à l’atelier de ce dernier(28). Impossible de déterminer à quel point Vermette va absorber la palette de Mousseau, mais ses couleurs sont aussi des couleurs chaudes -des ocres, des rouges, des orangés- qui rappellent l’automne dans les Laurentides(29).
Les deux artistes partageaient également un sens du rythme, un rythme adapté à leur époque, celle des grands projets et de la modernisation du Québec. Ils ont contribué à intégrer l’art dans le métro, à l’aéroport et dans les édifices publics, des exemples d’architecture qui se marche. Conscient que leur spectateur est le plus souvent en mouvement, ils utilisent l’art non-figuratif pour suivre le pas accéléré de l’homme. À l’exposition Orientation 59, on employait le mot irradiation pour décrire leur travail. Ces ondes sont encore présentes à la station St-Laurent, où les murales de Vermette grâce à une utilisation habile de la texture, de l’éclairage et de la coloration semblent presque en mouvement. Dans un long corridor de la station Peel, le rythme créé par l’alternance des cercles donne une impression de vitesse et de progression à celui qui l’emprunte et humanise l’espace. Parce que plus important encore, ensemble, le rythme et la couleur permettent d’humaniser l’espace. Avec les panneaux du garage Angrignon, Mousseau en utilisant le rythme et l’alternance des couleurs réussit même à rendre humain un bâtiment aux dimensions industrielles.
Mais il n’y a pas que la couleur et le rythme qui unit les deux hommes, cette sensibilité commune concerne aussi les valeurs. Mousseau et Vermette favorisaient le collectif à l’individuel et dans l’ensemble de leur carrière ils ont beaucoup fait pour que l’art et le publique se rencontrent à des carrefours divers. Leurs œuvres d’art intégrées à des espaces publiques, particulièrement celles du métro, contribuent encore aujourd’hui à enrichir l’expérience urbaine et le quotidien ce ceux qui savent les voir, même jours après jours. Parce que la plus grande menace de ces œuvres est que trop bien intégrées, on vient à les oublier.
LISTE DES ILLUSTRATIONS
fig 1
Jean-Paul Mousseau et Claude Vermette. Murale extérieure. 1958. Céramique. 6,60x2,85 m. Collège Notre-Dame, Montréal. (Photo : Pelletier, 2006)
fig 2
Jean-Paul Mousseau. Murale lumineuse. 1962. Fibre de verre et résine colorée. 4,57x22,86 m. Siège social d’Hydro-Québec, Montréal. http://www.hydroquebec.com/comprendre/histoire/mousseau/index.html
fig 3
Claude Vermette. Revêtements muraux. 1964-1966. Station Beaubien, métro de Montréal. (Photo : Pelletier, 2006). Pour des images des autres œuvres du métro de Montréal mentionnées, voir : http://www.metrodemontreal.com/index-f.html.
NOTES
- Propos recueillit par Gilles Hénault, directeur du musée d’art contemporain de Montréal et publié dans le catalogue d’exposition Mousseau, Aspects. Catalogue d’exposition (Musée d’art contemporain Montréal, 14 décembre 1967-28 janvier 1968), Gouvernement du Québec : Ministère des Affaires Culturelles, 1967, p.19.
- Pierre Landry (cons.) avec la collaboration de Francine Couture et François-Marc Gagnon. Mousseau. Catalogue d’exposition (Musée d’art contemporain Montréal 31 janvier-27 avril 1997), Montréal : Méridien, 1996, p.12,15,29 et 30.
- Irene Kon. « Claude Vermette ». Canadian Art, vol.17, novembre 1960, p.359-361.
- Louise Giroux (cons.). Les intégrations murales de Claude Vermette. Catalogue d’exposition (Château Dufresne, Musée des arts décoratifs de Montréal, 9 juin-4 septembre 1988),1988.
- Ibidem.
- François-Marc Gagnon. Dossiers sur Jean-Paul Mousseau, pour l’année 1957 Montréal : Centre de documentation de l’institut de recherche en art canadien Gail et Stephen A. Jarislowsky.
- Pierre Landry (cons.) avec la collaboration de Francine Couture et François-Marc Gagnon, p.43
- R. de Repentigny. « Une collaboration à encourager ». La Presse, 26 avril 1958 in François-Marc Gagnon. Dossiers sur Jean-Paul Mousseau, pour l’année 1957.
- Pierre Landry (cons.) avec la collaboration de Francine Couture et François-Marc Gagnon, p.131.
- François-Marc Gagnon. Dossiers sur Jean-Paul Mousseau, pour l’année 1957.
- Tel que lu dans le Curriculum Vitae de Claude Vermette, in « Vermette, Claude, 1930-2006 » Dossier. Montréal : Musée d’art contemporain de Montréal, Médiathèque, 1961-
- Robert Ayre, in Ibidem.
- R. DeRepentigny. La Presse, in Ibidem.
- Pierre Landry (cons.) avec la collaboration de Francine Couture et François-Marc Gagnon, p. 131.
- Ibidem, p.43.
- Irene Kon, p.359,360.
- Claude Bergeron. « Roger D’Astout, Architecte ». Québec : Les Presse de l’Université Laval, p.1,56.
- Pierre Landry (cons.) avec la collaboration de Francine Couture et François-Marc Gagnon, p. 44.
- François-Marc Gagnon. Dossiers sur Jean-Paul Mousseau, pour l’année 1960.
- Pierre Landry (cons.) avec la collaboration de Francine Couture et François-Marc Gagnon, p.132.
- Irene Kon, p.360.
- Ibidem
- Notamment la coloration architectural d’une résidence pour fille Thérèse-Casgrain de l’Université de Montréal, voir Pierre Landry (cons.) avec la collaboration de Francine Couture et François-Marc Gagnon, p.134.
- Jim Donaldson. Entretient avec Louis Papineau, Sainte-Adèle, Qc, août 1999, 4 novembre 2006, http://www.mcgill.ca/architecture/aluminterviews/papineau/
- Peel, Saint-Laurent, Place-de-Arts, Atwater, McGill, Beaubien, Laurier, Jean-Talon, Berri-UQAM, Square-Victoria, de l’Église, Radisson, in Louise Giroux (cons.).
- Le Métro de Montréal, 10 novembre 2006, http://www.metrodemontreal.com/index-f.html
- Ibidem
- François-Marc Gagnon.
- C.G. MacDonald. « Galery Notes », The Montreal Herald, 22 mars 1956 in François-Marc Gagnon. Dossiers sur Jean-Paul Mousseau, pour l’année 1956
- Mousseau, Aspects,p.6.
- Louise Giroux (cons.).
BIBLIOGRAPHY
Bergeron, Claude. « Roger D’Astous, Architecte ». Québec : Les Presse de l’Université Laval.
Clermont, Ghislain et Pierre-André Arcand. « Claude Vermette, muraliste et graveur ». Vie des Art, vol.XX, no79, été 1975, p.18-21.
Donaldson, Jim. Entretient avec Louis Papineau, à Sainte-Adèle, Qc, août 1999. <http://www.mcgill.ca/architecture/aluminterviews/papineau/>.
Gagnon, François-Marc. Dossiers sur Jean-Paul Mousseau. Montréal : Centre de documentation de l’institut de recherche en art canadien Gail et Stephen A. Jarislowsky, S.d.
Giroux, Louise (cons.). Les intégrations murales de Claude Vermette. Catalogue d’exposition (Château Dufresne, Musée des arts décoratifs de Montréal, 9 juin-4 septembre 1988),1988.
Kon, Irene. « Claude Vermette ». Canadian Art, vol.17, novembre 1960, p.359-361.
Landry, Pierre (cons.) avec la collaboration de Francine Couture et François-Marc Gagnon. Mousseau. Catalogue d’exposition (Musée d’art contemporain Montréal 31 janvier-27 avril 1997), Montréal : Méridien, 1996.
Mousseau, Aspects. Catalogue d’exposition (Musée d’art contemporain Montréal, 14 décembre 1967-28 janvier 1968), Gouvernement du Québec : Ministère des Affaires Culturelles, 1967.
Vermette, Claude, 1930-2006 » Dossier. Montréal : Musée d’art contemporain de Montréal, Médiathèque, 1961. |